Nos membres comportementalistes praticiens

Ville
St-Basile
Site internet
Nom de l'entreprise
Chatterie Sous le Saule
Région desservie
Montérégie
Ville
St-Constant
Téléphone de l'entreprise
450-632-4408

Nos membres associés

Nom de l'entreprise
Alexandra Ricque - Intervenante en comportement félin
Région desservie
Capitale-Nationale
Ville
Québec
G2B 1L6
Téléphone de l'entreprise
4189988034
Nom de l'entreprise
AZCA
Région desservie
Montréal
Montérégie
Québec
International
Ville
St-Alexis-des-Monts
J0K 1VO
Site internet
Téléphone de l'entreprise
5146537919
Nom de l'entreprise
Comportement Animal Providence
Région desservie
Mauricie
Laval
LanaudiĂšre
Laurentides
Téléphone de l'entreprise
4388222115
Nom de l'entreprise
Animalia inc.
Région desservie
Montreal
Nom de l'entreprise
Éthique cheval
Téléphone de l'entreprise
819-763-0387
Nom de l'entreprise
Comportement Animal Providence
Région desservie
Mauricie
Laval
LanaudiĂšre
Laurentides
Téléphone de l'entreprise
438822-2115
Nom de l'entreprise
Les serivices Kalins en Or
Région desservie
Montréal
Montérégie
Ville
Chambly
J3L
Téléphone de l'entreprise
15145745000

Nos membres honoraires

Dre Angelika E. Stock, MV, Dr.med.vet., PhD, DES, Dipl ACT

Dre Angelika Stock est diplÎmée de la Faculté de médecine vétérinaire
de l’UniversitĂ© de Munich depuis 1981 (MV). Sa formation inclut la
recherche pour un doctorat en reproduction bovine (Dr.med.vet) et
deux ans comme clinicienne et enseignante Ă  la mĂȘme facultĂ©.
Elle accepte une invitation pour des études postdoctorales en
reproduction bovine de l’UniversitĂ© de Cornell aux États-Unis, oĂč elle
reste pour un programme de PhD en physiologie de la reproduction
animal. En 1993, elle retourne avec son mari québécois à la Faculté de
médecine vétérinaire de Saint Hyacinthe, ou elle continue de faire des
études postdoctorales en recherche au CRRA et complÚte une
résidence en thériogénologie (DES). Elle commence un emploi comme
thĂ©riogĂ©nologiste des petits animaux Ă  l’HĂŽpital vĂ©tĂ©rinaire Rive-Sud Ă 
Brossard en 1999. La manque d’un spĂ©cialiste en thĂ©riogĂ©nologie des
petits animaux au Québec la fait décider de passer le Board du CollÚge
Américain en thériogénologie avec sous-spécialité des petits animaux
(Dipl.ACT). En 2023 elle reste toujours la seule spécialiste en
thériogénologie des petits animaux au Québec. Elle gÚre également sa
banque de semence canine congelĂ©e qu’elle a Ă©tablie en 1999. Depuis
maintenant plus que 20 ans elle prodigue quotidiennement des
conseils aux praticiens généralistes des petits animaux et aux éleveurs
de chiens et chats par téléphone, courriel ou multiples séminaires.

Sébastien Kfoury
DMV, IPSAV
Vétérinaire

Dr SĂ©bastien Kfoury est graduĂ© de la FacultĂ© de mĂ©decine vĂ©tĂ©rinaire de l’UniversitĂ© de MontrĂ©al depuis juin 2000. Il a complĂ©tĂ© un internat de perfectionnement en sciences appliquĂ©es vĂ©tĂ©rinaires dans le domaine des petits animaux en 2001 et travaille depuis au Centre VĂ©tĂ©rinaire Rive-Sud. Dr Kfoury est Ă©galement membre du conseil d’administration de l’Association des mĂ©decins vĂ©tĂ©rinaires du QuĂ©bec en pratique des petits animaux (AMVQ) et agit Ă  titre de consultant occasionnel pour le National Board of Veterinary Examiners (NBVME).

De plus, il participe Ă  l’élaboration de l’examen de certification des vĂ©tĂ©rinaires nord-amĂ©ricains (NAVLE).

Dr David William Silversides B.Sc. Biochimie, Ph.D. Physiologie-endocrinologie moléculaire

PARLEZ-NOUS DE VOS ORIGINES
Je suis nĂ© au nord de la Saskatchewan dans une famille de quatre enfants, mais j’ai grandi Ă  Moose Jaw au sud de la province. L’amour des animaux m’est venu de mon pĂšre qui Ă©tait professeur de biologie au secondaire; je l’accompagnais pendant les ö ns de semaine pour nourrir les souris, les lapins et les poissons qu’il utilisait pour ses cours.
DÉCRIVEZ VOTRE PARCOURS
PROFESSIONNEL
AprĂšs mes Ă©tudes secondaires, je suis parti Ă  Saskatoon pour commencer des Ă©tudes universitaires. J’ai eu mon baccalaurĂ©at en biochimie avant d’ĂȘtre admis au Western College of Veterinary Medicine. AprĂšs avoir
obtenu mon D.M.V. en 1982, j’ai entamĂ© des Ă©tudes au cycle supĂ©rieur qui se sont soldĂ©es en 1986 par un diplĂŽme de Ph. D. en reproduction. Voulant ouvrir mes horizons et
prendre de l’expĂ©rience, je me suis expatriĂ© avec ma jeune famille aux États-Unis, d’abord Ă  San Francisco pour un stage postdoctoral de
deux ans (1986-1988) et ensuite Ă  Houston au Texas pour une autre pĂ©riode de deux ans (1988-1990). Par la suite, le retour au Canada s’est imposĂ©, mais ce n’était pas facile, car
les occasions de travail Ă©taient limitĂ©es. Durant une entrevue passĂ©e pour un poste au dĂ©partement de pathologie Ă  la FacultĂ© de mĂ©decine de l’UniversitĂ© de MontrĂ©al, je me suis proposĂ© pour donner une confĂ©rence
sur mes travaux au Centre de recherche en reproduction animale (CRRA) à la Faculté de médecine vétérinaire de Saint-Hyacinthe.
Quelques semaines plus tard, Ronald Hunter, Ă  l’époque directeur du CRRA, m’a appelĂ© pour m’offrir un poste. La vie en français Ă©tait une motivation supplĂ©mentaire dans l’acceptation
de ce poste.
POURQUOI UNE CARRIÈRE DE
RECHERCHE DANS LE MILIEU
UNIVERSITAIRE?
Le milieu universitaire offre la liberté
acadĂ©mique, l’échange des idĂ©es entre les collĂšgues chercheurs, l’interaction avec les Ă©tudiants et une certaine libertĂ© dans la gestion de mon temps. Il me permet de mettre en avant mes propres idĂ©es dans le domaine
de la biologie molĂ©culaire. D’autre part, le milieu universitaire marie la recherche et le dĂ©veloppement, ce qui, dans mon cas, s’est soldĂ© par la crĂ©ation d’un service d’analyse
génétique chez les animaux domestiques offert aux vétérinaires praticiens et aux éleveurs.

DE QUELLE RÉALISATION ÊTESïšșVOUS LE PLUS FIER?
J’ai d’abord eu le privilùge de faire de la recherche fondamentale en biologie
molĂ©culaire. J’ai commencĂ© ma carriĂšre dans la pĂ©riode prĂ©gĂ©nomique, avec le clonage
des gÚnes et la production de souris transgéniques. Je suis particuliÚrement ö er du fait que certaines de nos lignées de souris ont été utilisées comme modÚles de traitement
de la maladie génétique du mégacÎlon, qui touche les jeunes enfants. Cependant, quand les génomes des animaux domestiques
Ă©taient rendus disponibles et le besoin de faire du clonage de gĂšnes est devenu moins pertinent, j’ai orientĂ© mon intĂ©rĂȘt vers la recherche appliquĂ©e. Avec toutes mes connaissances en gĂ©nĂ©tique, j’ai pu Ă©tablir un laboratoire de diagnostic (Labgenvet) pour les maladies gĂ©nĂ©tiques des animaux domestiques qui a pris naissance Ă  la FacultĂ© de mĂ©decine vĂ©tĂ©rinaire. Il reprĂ©sente maintenant le seul laboratoire au Canada qui off re ce genre de tests et rĂ©pond aux besoins des vĂ©tĂ©rinaires praticiens et des Ă©leveurs pour dĂ©celer les maladies gĂ©nĂ©tiques des animaux domestiques. D’ailleurs, une banque
de données sur les maladies génétiques des animaux domestiques est disponible sur notre site Web (www.labgenvet.ca), à toutes
ö ns utiles, pour les Ă©tudiants, les vĂ©tĂ©rinaires, les Ă©leveurs et le grand public. Sur le plan de l’enseignement, je suis ö er des stages que j’organise dans mon laboratoire pour les Ă©tudiants du 1er cycle aö n d’approfondir leurs connaissances en gĂ©nĂ©tique.
QUELS SONT LES IMPACTS DE VOTRE
RECHERCHE SUR LA PRATIQUE
VÉTÉRINAIRE?
Les avancĂ©es des techniques de laboratoire et la comprĂ©hension des mĂ©canismes ont rĂ©volutionnĂ© nos connaissances des maladies gĂ©nĂ©tiques chez nos animaux domestiques. Cela reprĂ©sente le fruit d’un dĂ©veloppement conjoint de la recherche fondamentale et appliquĂ©e. En rendant des tests de maladies
gĂ©nĂ©tiques accessibles aux vĂ©tĂ©rinaires Ă  des ö ns de diagnostic et aux Ă©leveurs pour mieux gĂ©rer le choix des animaux mis Ă  la reproduction, je crois contribuer Ă  rĂ©duire la souffrance et Ă  amĂ©liorer le bien-ĂȘtre de nos animaux domestiques.